Un terrain de golf s’appelle un green, et représente un parcours de 6, 9 ou 18 trous, sur une zone engazonnée, qui varie en superficie. Le jeu consiste à placer une balle dans un trou, qui mesure 108 mm de diamètre et au moins 100 mm de profondeur, selon certaines règles de progression et de temps et au moyen de clubs de golf ou cannes. Les clubs de golf se classent en trois catégories, les bois, les fers et le putter utilisé lors de la mise dans le trou. Chaque joueur adapte son jeu en utilisant les clubs qu’il juge les plus appropriés selon les difficultés du terrain. Le parcours se hérisse d’obstacles comme des mares, des étangs, des ruisseaux, des buissons, ou des étendues de sable afin de compliquer le jeu. Chaque accès au trou comprend le départ, le fairway, le green, le rough, et les bunkers ou obstacles destinés à compliquer le jeu.
L’objectif est donc de placer la balle dans chacun des trous en le moins de coups possibles et en un minimum de temps. Sur la zone de départ, qui s’appelle le tee shot, vers un trou, le joueur est autorisé à surélever sa balle sur un support, le tee. La balle peut être drivée par un bon golfeur jusqu’à une vitesse de 250 km/h.
Le golf se joue souvent à plusieurs, entre joueurs qui n’ont pas forcément le même handicap. Le handicap est l’index qui se calcule en fonction du nombre de coups réalisés par le joueur pour finaliser son parcours. La partie commence donc par celui qui a le plus bas handicap, et le meilleur score l’emporte. Il faut toujours jouer la balle à l’endroit où elle se trouve, et si on doit la changer il faut positionner la nouvelle exactement à la même place sauf si la balle se trouve enfoncée. Il faut alors la dropper, c'est-à-dire la tenir à hauteur des épaules, à bout de bras et la laisser tomber, une manière de la remettre en jeu.
L’art du golf est de synchroniser les mouvements du corps avec l’action des mains et des poignets pour créer le swing, et frapper la balle avec le plus de puissance et d’élégance possible.
Les différentes sortes sont le match-play qui se joue entre deux joueurs, l’un contre l’autre et trou par trou, mais aussi le stroke play, qui consiste à additionner les scores réalisés sur tous les trous d’un parcours dans le moindre de coups possibles.